*Usman, S. O., Ajayi, O. M., Ebiekura, O., Egbonrelu, N., Ebhojie, G., and Ariyo, A.O
APIN Public Health Initiatives, Abuja, Nigeria
*Correspondence to: senatorhopsy@yahoo.com
Abstract:
Background: In sub-Saharan Africa where genotypic anti-retroviral (ARV) drug resistance testing is rarely performed and poor adherence is blamed for the inability to achieve viral suppression and treatment failure, programmatic approaches to preventing and handling these are essential. This study was aimed at assessing the virological outcomes among HIV patients receiving second-line anti-retroviral therapy (ART) in Southwestern Nigeria.
Methodology: This was a 5-year observational retrospective study of randomly selected people living with HIV (PLWHIV) who have been switched to second-line ART for at least six months before the commencement of the study in multiple comprehensive ART sites across the three levels of care, in Ondo and Ekiti States, Southwestern Nigeria, from January 2015 to December 2019. Quantitative viral load analysis was done using polymerase chain reaction (PCR) assay. Data were analyzed using the Statistical Package for Social Sciences (SPSS) version 24.0.
Results: A total of 249 (71 males and 178 females) subjects eligible for the study were recruited using simple random sampling technique. The mean age (± SD) of the subjects was 44.21 ± 11.45 years. The mean number of years the patients have been on ART regimen was 7.92 ± 2.68 years. The mean number of years the patients were on first line ART regimen before being switched to second line was 4.27 ± 2.63 years. Patients with viral load <1000 RNA copies/ml (suppressed viral load) were 216 (86.7%) out of which 113 (45.4%) had viral load <20 RNA copies/ml while 33 (13.3%) had viral load >1000 RNA copies/ml (unsuppressed viral load or virological failure).
Conclusion: About 13% of the patients on second line ART had unsuppressed viral load of more than 1000 RNA copies/ml indicating virological failure. Thus, critical factors such as poor adherence to ART and drug resistance chiefly contributing to virological failure have to be routinely checked.
Keywords: suppression, ART, resistance, virological, failure, Nigeria
Received Apr 26, 2021; Revised Jun 9, 2021; Accepted Jun 13, 2021
Copyright 2021 AJCEM Open Access. This article is licensed and distributed under the terms of the Creative Commons Attrition 4.0 International License <a rel=”license” href=”//creativecommons.org/licenses/by/4.0/”, which permits unrestricted use, distribution and reproduction in any medium, provided credit is given to the original author(s) and the source.
Editor-in-Chief: Prof. S. S. Taiwo
Preuve d’échec virologique chez les patients sous traitement antirétroviral de deuxième intention dans le sud-ouest du Nigeria: une indication pour le test de résistance aux médicaments contre le VIH
*Usman, S.O., Ajayi, O.M., Ebiekura, O., Egbonrelu, N., Ebhojie, G., et Ariyo, A.O.
Initiatives de santé publique de l’APIN, Abuja, Nigéria
*Correspondance à: senatorhopsy@yahoo.com
Abstrait:
Contexte: En Afrique subsaharienne, où les tests génotypiques de résistance aux antirétroviraux (ARV) sont rarement effectués et où une mauvaise observance est imputée à l’incapacité d’obtenir la suppression virale et l’échec du traitement, des approches programmatiques pour les prévenir et les gérer sont essentielles. Cette étude visait à évaluer les résultats virologiques chez les patients VIH recevant un traitement antirétroviral (TAR) de deuxième intention dans le sud-ouest du Nigeria.
Méthodologie: Il s’agissait d’une étude rétrospective d’observation de 5 ans portant sur des personnes vivant avec le VIH (PVVIH) sélectionnées au hasard et passées à un TAR de deuxième intention pendant au moins six mois avant le début de l’étude dans plusieurs sites de TAR complets aux trois niveaux. de soins, dans les États d’Ondo et d’Ekiti, dans le sud-ouest du Nigéria, de janvier 2015 à décembre 2019. L’analyse quantitative de la charge virale a été effectuée à l’aide d’un test de réaction en chaîne par polymérase (PCR). Les données ont été analysées à l’aide du logiciel Paquet statistique pour les sciences sociales (SPSS) version 24.0.
Résultats: Un total de 249 (71 hommes et 178 femmes) sujets éligibles à l’étude ont été recrutés à l’aide d’une technique d’échantillonnage aléatoire simple. L’âge moyen (± ET) des sujets était de 44,21±11,45 ans. Le nombre moyen d’années pendant lesquelles les patients ont été sous traitement antirétroviral était de 7,92±2,68 ans. Le nombre moyen d’années pendant lesquelles les patients étaient sous traitement antirétroviral de première ligne avant de passer en deuxième ligne était de 4,27 ± 2,63 ans. Les patients avec une charge virale <1000 copies d’ARN/ml (charge virale supprimée) étaient 216 (86,7%) dont 113 (45,4%) avaient une charge virale <20 copies d’ARN/ml tandis que 33 (13,3%) avaient une charge virale >1000 ARN copies/ml (charge virale non supprimée ou échec virologique).
Conclusion: Environ 13 % des patients sous TAR de deuxième ligne avaient une charge virale non supprimée de plus de 1000 copies d’ARN/ml indiquant un échec virologique. Ainsi, les facteurs critiques tels qu’une mauvaise adhésion au TARV et la résistance aux médicaments contribuant principalement à l’échec virologique doivent être systématiquement vérifiés.
Mots clés: suppression, TAR, résistance, virologique, échec, Nigeria.
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Evidence of virological failure in patients on second-line anti-retroviral therapy in Southwestern Nigeria: an indication for HIV drug resistance testing